Autant hier, je me souviens très bien de mon rêve. Autant aujourd'hui, c'est pas du tout le cas. N'aurais-je pas assez dormi ? La maladie d'Alzeimher me guette-t-elle ? Pourtant ce rêve voudrait que je m'en souvienne. Par moment, un flash m'apparaît mais je n'ai pas le temps de le décrypter surtout si je suis déjà occupée à autre chose... Alors j'essaye de faire travailler mes sensations et ma mémoire afin de capter ce message que m'envoit mon inconscient mais aujourd'hui, c'est peine perdue...
Allez, je vous raconte quand même le rêve que j'ai fait hier. J'étais dans une maison qui m'est totalement inconnue. Des amis, qui apparemment viennent d'acheter cette maison, avaient remarqué des "trucs" bizarres ! Ils avaient donc fait appel à moi afin d'élucider ce mystère.
Je me posai dans la grande pièce faisant office de salon et de salle-à-manger et j'attends. Je ne saurais dire combien d'heures je suis restée assise là mais en fin de soirée, lorsque tout le monde dormait à poings fermés, j'entendis des bruits. Je cherchai la source et me retrouvai devant le frigo. Et là devinez quoi ? J'aperçus un homme assise sur une chaise, une sorte de guitare à la main, revêtu d'un poncho. Un péruvien était là en train de jouer de la musique... Bizarre, mais que fait cette homme ici ? Et bien vous n'en saurez pas plus car dans la minute qui a suivi mon stupide réveil s'est mis à sonner ! Pfffff Déjà se lever... J'ai horreur de commencer des rêves et de ne pas en connaître la fin mais bon... c'est la vie. Boulot, dodo,... le train train quotidien s'est mis en marche ! Tchouuuuuuuuu tchouuuuuuuuuu
Encore plus bizarre quand mon gamin me dit :"t'as vu maman, il est chouette ce dessin animé !" Je regarde et une image flash apparaît. Un péruvien jouant de la guitare !
vendredi 14 septembre 2007
lundi 10 septembre 2007
Un rêve tenace
Petite matinée tranquille à pouponner. Si vous avez vu l'épisode de "friends" où Phoebie s'occupe de bébés, vous n'aurez pas du mal à imaginer ma journée.
11h, il est temps de préparer le dîner, on sait jamais que mon bien-aimé repasse par la maison (Pour l'instant, il travaille à 5 minutes d'ici). Dans le mille, il est midi, je suis occupée à donner à manger à ma puce (au menu : boeuf, haricots et pomme de terre) lorsque j'entends les clefs dans la serrure. "Voilà papaaaaa !"
L'Homme me fait un bisou rapide, mange à moitié son assiette, me dit qu'il rentrera plus tard car il a demandé à faire des heures sup, re-bisou rapide et le voilà repartit ^^ J'aime pas gâcher et puis avant que je n'oublie de manger, je termine son assiette.
Ma petite puce baille. Je monte avec elle pour la sieste et on s'endort aussi rapidement l'une comme l'autre.
Vous allez pas le croire, voilàti pas que je retombe dans mon cauchemard de ce matin !!!
Me voilà dans un petit village pleins de recoins et de ruelles. Mon Homme me fait un bisou et me souhaite une bonne journée. "Je ne rentrerai pas tard." Je descends une floppée de marche puis soudain je m'arrête net. Un pressentiment. Y a quelque chose de pas net ! Je sors mon gsm pour sonner à mon Homme lorsque je m'aperçois qu'un homme appuyé contre un mur me regarde. Joli gsm, jolie demoiselle ! "Je n'ai pas le temps de jouer ! Je suis très occupée !" Dans l'énervement, je perds mon gsm que l'homme ramasse gentiment. Je lui reprends grossièrement et remonte les escaliers. Je me mets alors en quête de mon Homme, retenue un moment par un de ces amis, je me fraye un chemin dans des sous-bassements et découvre mon Homme dans un lit avec une femme dont le visage est garni de boutons disgracieux. Je leur souhaite alors tous mes voeux de bonheur et leur dit adieu puis m'en retourne et là, changement de décor, me voilà à poursuivre mon père partit en voiture sur le chemin du travail.
15h : la sieste est terminée, la pluie s'abat sur les carreaux. pfff, pas envie de prendre froid et encore moins de risquer de rendre malade la petite, je sonne à mon père pour qu'il aille rechercher le grand à l'école et s'il a le temps, d'aller chercher des pantouffles de gym (on s'est seulement rendu compte hier que celle de l'an passé était trop petite) et des lunettes pour la piscine.
Panade, petit rôt, petit caca qui pue bien, de la bave partout (c'est que les premières dents voudraient bien sortir...) puis on s'installe pour écouter de la zik sur youtube.
17h : vla le grand qui rentre et qui raconte en détail sa journée, peu de temps avant l'Homme était revenu du boulot pour s'effondrer dans le divan.
préparation de la valisette de la puce (elle part dormir chez belle-maman et beau-papa car papa et maman travaille très tôt demain) et go ! Sur le chemin du retour, petit arrêt à la friterie (petit caprice de l'Homme qui doit certainement ronfler dans le divan).
souper, rangement du foutoir de la journée, vaisselle, lessive, couture, bricolage et pc
il est 23h22 : je vous souhaite la bonne nuit !
11h, il est temps de préparer le dîner, on sait jamais que mon bien-aimé repasse par la maison (Pour l'instant, il travaille à 5 minutes d'ici). Dans le mille, il est midi, je suis occupée à donner à manger à ma puce (au menu : boeuf, haricots et pomme de terre) lorsque j'entends les clefs dans la serrure. "Voilà papaaaaa !"
L'Homme me fait un bisou rapide, mange à moitié son assiette, me dit qu'il rentrera plus tard car il a demandé à faire des heures sup, re-bisou rapide et le voilà repartit ^^ J'aime pas gâcher et puis avant que je n'oublie de manger, je termine son assiette.
Ma petite puce baille. Je monte avec elle pour la sieste et on s'endort aussi rapidement l'une comme l'autre.
Vous allez pas le croire, voilàti pas que je retombe dans mon cauchemard de ce matin !!!
Me voilà dans un petit village pleins de recoins et de ruelles. Mon Homme me fait un bisou et me souhaite une bonne journée. "Je ne rentrerai pas tard." Je descends une floppée de marche puis soudain je m'arrête net. Un pressentiment. Y a quelque chose de pas net ! Je sors mon gsm pour sonner à mon Homme lorsque je m'aperçois qu'un homme appuyé contre un mur me regarde. Joli gsm, jolie demoiselle ! "Je n'ai pas le temps de jouer ! Je suis très occupée !" Dans l'énervement, je perds mon gsm que l'homme ramasse gentiment. Je lui reprends grossièrement et remonte les escaliers. Je me mets alors en quête de mon Homme, retenue un moment par un de ces amis, je me fraye un chemin dans des sous-bassements et découvre mon Homme dans un lit avec une femme dont le visage est garni de boutons disgracieux. Je leur souhaite alors tous mes voeux de bonheur et leur dit adieu puis m'en retourne et là, changement de décor, me voilà à poursuivre mon père partit en voiture sur le chemin du travail.
15h : la sieste est terminée, la pluie s'abat sur les carreaux. pfff, pas envie de prendre froid et encore moins de risquer de rendre malade la petite, je sonne à mon père pour qu'il aille rechercher le grand à l'école et s'il a le temps, d'aller chercher des pantouffles de gym (on s'est seulement rendu compte hier que celle de l'an passé était trop petite) et des lunettes pour la piscine.
Panade, petit rôt, petit caca qui pue bien, de la bave partout (c'est que les premières dents voudraient bien sortir...) puis on s'installe pour écouter de la zik sur youtube.
17h : vla le grand qui rentre et qui raconte en détail sa journée, peu de temps avant l'Homme était revenu du boulot pour s'effondrer dans le divan.
préparation de la valisette de la puce (elle part dormir chez belle-maman et beau-papa car papa et maman travaille très tôt demain) et go ! Sur le chemin du retour, petit arrêt à la friterie (petit caprice de l'Homme qui doit certainement ronfler dans le divan).
souper, rangement du foutoir de la journée, vaisselle, lessive, couture, bricolage et pc
il est 23h22 : je vous souhaite la bonne nuit !
Pensée du jour
Toutes mes nuits s'écoulent
à rêver que je suis dans ses bras
Perdue dans la foule
Sa pensée anime chacun de mes pas
je veux lui dire
ces mots de désir
mais ma pudeur
me pousse à les cacher dans mon cœur
Il ne voit pas que je l'aime
J'aime sans être aimée
Mais mon cœur ne veut aimer que toi
Mes mots sont des larmes
Qui disent ma douleur,
mais tu n'entends pas
si tu savais
comme j'ai mal
seule je sais
aujourd'hui ma blessure se dévoile
et je connais la valeur de l'amour que je n'ai jamais donné
il est là pour toi...toi qui ne voyait pas qu'il t'est destiné.
Texte de Wallen
à rêver que je suis dans ses bras
Perdue dans la foule
Sa pensée anime chacun de mes pas
je veux lui dire
ces mots de désir
mais ma pudeur
me pousse à les cacher dans mon cœur
Il ne voit pas que je l'aime
J'aime sans être aimée
Mais mon cœur ne veut aimer que toi
Mes mots sont des larmes
Qui disent ma douleur,
mais tu n'entends pas
si tu savais
comme j'ai mal
seule je sais
aujourd'hui ma blessure se dévoile
et je connais la valeur de l'amour que je n'ai jamais donné
il est là pour toi...toi qui ne voyait pas qu'il t'est destiné.
Texte de Wallen
Un réveil gazeux
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OooooOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO
OOOOOOOOOO
Cher journal,
c'est avec un sentiment de mal être que je me suis réveillée ce matin. Encore ce satané rêve !
A quelques différences près. Cette fois, mon Homme me trompe mais je ne le surprends pas sur le fait et ma rivale n'est pas une super nana mais une femme tout à fait ordinaire.
D'habitude, je fais tout ce que je peux pour récupérer mon bien-aimé et il revient vers moi.
Là, je ne sais pourquoi mais je me sens tellement découragée par tant de luttes que je me résigne à le quitter. Apparemment, il ne s'attendait pas du tout à celle-là. Il commenca à préparer sa valise sans réelles convictions, pensant que comme d'habitude je le retiendrais au dernier moment, mais pas cette fois, vraiment résignée, j'emballe toutes ses affaires et lui explique les modalités à suivre.
Tout penaud et comprenant qu'il a vraiment été trop loin, il quitte alors la pièce.
Soudainement, le décor bascule et je me retrouve dans une de ces journées des plus ordinaires. Il est 7 heures, je réveille mon fils qui ne veut pas se lever, qui traîne pour s'habiller, qui ne veut pas déjeûner puis qui à la dernière minute décide de déjeûner puis embarquement dans la voiture pour prendre le chemin de l'école. Et là, je me rends compte, après un bon kilomètre, que mon fils n'est pas dans la voiture. ~On va être en retard, nom d'une pipe !~
Je me réveille complètement stressée, je regarde le réveil. ~Hein ? quoi ? 6 heures 45 ! Et la petite qui n'est pas réveillée ! Trop bizarre !~
Petit coup de stress, je saute de mon lit pour regarder si ma puce va bien et tout va bien. Elle dort comme une marmotte. L'Homme est déjà parti travailler (il fait 6h-14h aujourd'hui). J'enfile mon peignoir et vais voir si le Grand est déjà en bas. Et bien non ! le Grand est toujours dans son lit ! ~Bonjour mon coeur, il est l'heure de se lever, il est presque 7 h !~
Nourrir, faire rôter, langer, habiller la mademoiselle et hop ! dans le parc.
Crier après le grand qui n'est toujours pas descendu. ~Et alors grand ! Il est grand temps que tu te lèves, tu vas finir par être en retard à l'école !~
Faire pipi, me laver les dents, enfiler un jogging, un petit coup de déo, mettre des baskets (c'est les seules chaussures fermées qui me restent, enfin j'ai aussi une paire de bottes mais j'aime pas de les mettre car les talons sont trop hauts, ça doit être pour ça d'ailleurs qu'elles sont encore nickel !), me coiffer, manger avec le grand (maïs soufflés au miel dans un grand bol avec du lait), préparer la poussette, habiller chaudement ma puce (c'est qu'il y a vachement du vent aujourd'hui), discuter avec le grand pour qu'il veuille bien mettre un manteau et c'est parti pour l'école !
OooooOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO
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Cher journal,
c'est avec un sentiment de mal être que je me suis réveillée ce matin. Encore ce satané rêve !
A quelques différences près. Cette fois, mon Homme me trompe mais je ne le surprends pas sur le fait et ma rivale n'est pas une super nana mais une femme tout à fait ordinaire.
D'habitude, je fais tout ce que je peux pour récupérer mon bien-aimé et il revient vers moi.
Là, je ne sais pourquoi mais je me sens tellement découragée par tant de luttes que je me résigne à le quitter. Apparemment, il ne s'attendait pas du tout à celle-là. Il commenca à préparer sa valise sans réelles convictions, pensant que comme d'habitude je le retiendrais au dernier moment, mais pas cette fois, vraiment résignée, j'emballe toutes ses affaires et lui explique les modalités à suivre.
Tout penaud et comprenant qu'il a vraiment été trop loin, il quitte alors la pièce.
Soudainement, le décor bascule et je me retrouve dans une de ces journées des plus ordinaires. Il est 7 heures, je réveille mon fils qui ne veut pas se lever, qui traîne pour s'habiller, qui ne veut pas déjeûner puis qui à la dernière minute décide de déjeûner puis embarquement dans la voiture pour prendre le chemin de l'école. Et là, je me rends compte, après un bon kilomètre, que mon fils n'est pas dans la voiture. ~On va être en retard, nom d'une pipe !~
Je me réveille complètement stressée, je regarde le réveil. ~Hein ? quoi ? 6 heures 45 ! Et la petite qui n'est pas réveillée ! Trop bizarre !~
Petit coup de stress, je saute de mon lit pour regarder si ma puce va bien et tout va bien. Elle dort comme une marmotte. L'Homme est déjà parti travailler (il fait 6h-14h aujourd'hui). J'enfile mon peignoir et vais voir si le Grand est déjà en bas. Et bien non ! le Grand est toujours dans son lit ! ~Bonjour mon coeur, il est l'heure de se lever, il est presque 7 h !~
Nourrir, faire rôter, langer, habiller la mademoiselle et hop ! dans le parc.
Crier après le grand qui n'est toujours pas descendu. ~Et alors grand ! Il est grand temps que tu te lèves, tu vas finir par être en retard à l'école !~
Faire pipi, me laver les dents, enfiler un jogging, un petit coup de déo, mettre des baskets (c'est les seules chaussures fermées qui me restent, enfin j'ai aussi une paire de bottes mais j'aime pas de les mettre car les talons sont trop hauts, ça doit être pour ça d'ailleurs qu'elles sont encore nickel !), me coiffer, manger avec le grand (maïs soufflés au miel dans un grand bol avec du lait), préparer la poussette, habiller chaudement ma puce (c'est qu'il y a vachement du vent aujourd'hui), discuter avec le grand pour qu'il veuille bien mettre un manteau et c'est parti pour l'école !
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